
Pour une trentaine de truffes
Temps de préparation : 25 mns
Temps de cuisson : 5 mns
Ingrédients :
- 250 g de chocolat amer
- 100 g de beurre ramolli
- 2 jaunes d’œufs battus
- 1 cuiller à soupe de whisky [1]
- 1 sachet de sucre vanillé
- 50 g de sucre vanillé
- 50 g de sucre glace
- poudre de cacao
Préparation :
- Faire fondre le chocolat au bain-marie
- Battre le sucre glace, le sucre vanillé et les jaunes d’œufs ensemble ; incorporer dans le beurre mou
- Lorsque le mélange est bien intime, verser dans le chocolat fondu ; battre vigoureusement
- ajouter le whisky ; bien mélanger
- Mettre en attente au frigo pendant une nuit
- Le lendemain, saupoudrer une planche avec du cacao amer ; former des boules, à rouler dans la poudre de cacao
- Déposer dans des caissettes et garder au frais dans une boîte hermétiquement fermée.
JOYEUX NOËL A TOUS ! 
[1] Pour des accords whisky- chocolat, rendez- vous à l’année prochaine !
Mais d’ores et déjà, ce paragraphe intéressant sur le site du (grand) chocolatier Richart :
« Chaque whisky a un caractère affirmé, une personnalité forte. Les tannins du chocolat ne supportant pas facilement la cohabitation avec d’autres tannins, il vaut mieux éliminer les whiskies trop tanniques, ainsi que les whiskies trop tourbés et iodés. Le « whisky du chocolat » doit donc être puissant dans des arômes de sous-bois, de fruits secs à coque, de fruits séchés, de beurre, de caramel, pas trop amer et pas du tout acide, peu alcoolisé et pas sucré.
J’ai personnellement une prédilection pour les vieux Speysides, Sherry cask, par exemple un Macallan 18 ans, à associer à un praliné à la noisette du Piémont, ou bien un Glenfarclas 21 ans, associé à un chocolat plein du Pérou 85%, ou encore certains Bourbons qui, pour leurs arômes de torréfaction et de miel, s’allient aux chocolats plus doux et aux desserts. »
… et aussi :
« Les vieux Cognacs et Armagnacs, très ronds en bouche, sans astringence et peu tanniques, s’associent très bien avec les chocolats pleins ou fourrés peu sucrés.
Les Rhums agricoles vieux et très vieux sont parfaits sur les pralinés et les ganaches (les Bailly d’avant 1940 sont sublimes). »
… sans oublier :
« Enfin, pour tous ceux qui ne souhaitent pas boire d’alcool, je conseille de boire de l’eau, la plus neutre possible sur le plan des saveurs. Elle permettra de se « refaire » la bouche avant une nouvelle dégustation. »